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"Un Réflexion Sur Les Dynamiques de Langues en Maroc" by Emeline Avignon

"Un Réflexion Sur Les Dynamiques de Langues en Maroc" by Emeline Avignon

Je suis française-américaine. Mon père vient de France et ma mère aux États-Unis. J'étais élevé pour la plupart en anglais. J'ai appris le français avant d'y aller en premier chez moi, au lycée et à l'université. Avant l'université, j'ai passé six mois en France où j'ai avancé mon français. J'ai trouvé les manières et des habits de parler de son plus natif– l'argot, tic de langage. Avant de partir au Maroc, j’ai pensé que je vais apprendre ces nuances du français au Maroc. En réalité, ce n'est pas ces argots ni les tics que j'ai retenus. Ce que j'ai trouvé à la place est plus de dynamiques historiques et culturels du contexte du français dans la société Marocaine et sa relation avec les autres langues du pays.

Il y a quelques phrases que j'entends souvent dont je ne me souviens pas que j’ai entendu souvent en France, comme “je vous en prie.” Cette phrase signifie “de rien” et c'est un politesse de dire” ne gênez pas.” Prie est une conjugaison du verbe, “prier”. Au-delà de ça, je ne trouve pas beaucoup de différences. C’est intéressant comme s'étend au français. Quoique que la langue vienne de la colonisation, celui-ci est un exemple de sorte de réclamation où les ne marocains prennent qu’est-ce que résonnent avec eux-mêmes. Pendant mon temps au Maroc je trouve comment la culture et la religion s'installent dans la langue, n’est pas que dans l’arabe. Je ne suis pas tellement religieuse, mais je suis venue apprécier comme la langue est entrelacée avec des phrases de dieu. Malgré que votre niveau de pratique de la religion, je trouve que cela donne un certain aspect du soin dans l'utilisation du langage.

C'était une surprise de voyager dans le nord du Maroc et de trouver pas de gens qui parlent français. Dans le nord, l'utilisation du français est remplacée par l'espagnol. En parlant avec ma partenaire de langue, elle m'a dit que beaucoup de Marocains oublient que le Maroc était colonisé par les espagnoles aussi. Ma professeur de darija dit souvent que “nous sommes encore colonisés” quand j'apprends qu'un mot en darija est le même mot utilisé en français.

Une fresque à Assilah par l’artiste Khaled Alsaai. C’est un poème traduit en calligraphie arabe puis transformé en art. Crédit photographique: Avignon, 2022.

Je n'entends pas ou je n'ai pas encore appris l'argot en français d’ici. Pour la plupart, les jeunes que je passe le temps au Maroc parlent darija ensemble. Le français est une langue connotée plus formelle ici. Celui-ci devient une dynamique qui n'était pas tout apparent pour moi avant quelques mois au Maroc. J'ai su que c’est une langue venue par la colonisation, mais dans l'indépendance le français devient une langue d'élite et d’administration. J’apprends dans mes cours aux stratifications surtout les systèmes d'éducation. Le français est enseigné que dans les écoles privées.

Je suis la seule étudiante qui n'a pas étudié l'arabe avant ce programme. Je suis la seule qui apprend le darija aussi et en plus j'apprends le darija en français! Darija n’est pas une langue écrite. C’est un langage appris dans les familles et avec les gens. J'apprends plus d'argot en darija d'en français, ou bien j'apprends l'argot qui est utilisé en français qui vient de l'arabe ou le darija. Par exemple, “kif kif” et “chweeya” ce que signifie “c'est tout le même” et “doucement” ou “un peu.”

J'ai des rédactions différentes quand je parle français. Une fois, un patron m'a dit qu'il n'aime pas parler en français, même s'il peut parler et qu'il préfère l'anglais. Une autre fois, dans un taxi, une femme a dit que “c'est top” que je parle français et que je suis française. Aucune de ces réactions ne me dérange, je trouve intéressant la diversité des pensées en relation avec le français. J'arrive d'hésiter à assumer que je peux parler en français avec tout le monde. Je me trouve bénéficie quand je peux traduire les menus pour les autres étudiants sur le programme, ou quand je peux communiquer en plus courante si nos l’arabe n’est pas suffisant. Mais aussi je me trouve un peu présomptueux, arrogant et ignorant. C'est un privilège d'accès les ressources d'apprendre l'arabe classique, l'anglais et le français, mais pour la plupart les gens au moins à Rabat comprendront quelques-unes de ces langues. La plupart des gens au Maroc connaissent plus de trois langues et une grande population enseigne elle-même les langues. Je me sens un peu paresseuse en comparaison avec l'enseignement des langues! Ils sont une bonne motivation.

Pendant que c'est utile de connaître le français au Maroc et je me le suis améliorée, darija est plutôt une porte qui ouvre le Maroc. Le premier jour que j'ai raconté à une des partenaires de langages, il m'a dit que les langues sont les portails de culture. Je suis tellement d’accord avec lui. Ainsi que c’est facile pour moi de parler en français en navigant au Maroc, quand je parle de mon faible niveau de darija, on me raconte avec les souris chaleureux, les rigoles, les bras ouverts. Le Maroc est un pays de gens qui est déjà très accueillants, mais d’accueil darija moi-même le son encore plus. 

Emeline is a junior at Trinity College and studying abroad on the Amideast Regional Studies in French Program this fall in Morocco.

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